Si, dans la plupart des cas, un épargnant investit pour lui-même, ou dans le but de ne pas laisser ses proches dans le besoin, suite à son décès, de nouvelles formules ont été développées pour permettre de prendre part également à de bonnes œuvres, offrant ainsi l’un des meilleurs compromis possibles.

 Que les fonds soient investis sur des livrets d’épargne, des SICAV, ou encore des actions, les gains qu’ils permettent de générer sont ensuite reversés, en partie, à des organismes dont le but est de mener à bien des projets visant à lutter contre l’exclusion, à favoriser une plus grande cohésion sociale, ou bien encore à encourager les efforts en matière de développement durable.

Aidées, pour l’épargnant, par des remises fiscales pouvant atteindre 66 % des montants déposés, dans une limite établie, par ailleurs, à 20 % du revenu imposable, ce genre de solutions ne se voient, en outre, taxées, pour ce qui concerne les livrets d’épargne, qu’à hauteur de 5 %, au lieu des 19 % habituellement perçus, au titre du Prélèvement Forfaitaire Libératoire ; les cotisations sociales restant, en revanche, identiques et donc fixées à 12,30 %.

Rendues ainsi extrêmement attractives, du fait des différentes mesures mises en place, la souscription de telles offres doit absolument être envisagée, avant l’ouverture de toute autre formule d’épargne, étant donné que celles-ci présentent de nombreux atouts.